Le crayon à papier est ma main, celui ci glisse, parcourant, traçant, mesurant chaque courbes de tes jolis des seins équilatéraux, touchant la circonférence de tes aréoles un peu frivoles.

De sa pointe grise, il éveille sa matière grise, griffonne chaque surface, abscisse centimètre carré par centimètre carré, et l'envie de poser sa solution à cette belle équation lui éveille une passion dévorante, ô combien, adjacente !!!!

Puis le crayon voulant braver les règles, s'agite, s'excite, il continue sa course au désir, en aucun cas il voudrait mettre entres parenthèses toutes ces minutes écoulées, qui bientôt seront converties en heures, pour son plus grand bonheur.

Arrive le moment M, le compas dans l'œil, le crayon prend de l'amplitude, palpite sa mine et vient titiller le triangle isocèle pour en faire un triangle rectangle, mesurant son périmètre, angle par angle pour enfin viser l'axe de celui ci. Aïe la mine vient de se casser !

Le crayon vient de résoudre son énigme à deux inconnues, il n'est que crayon, et de papier il est, et de papier il restera, maintenant ne lui reste plus qu'à gommer cette figure géométrique, aux formes asymétriques et de se dire : "que tout ceci était une bien mauvaise opération, et que maintenant il se retrouve diviser entre son image d'un matériel scolaire, et celui d'un matériel sensuel